Benoît Hamon, seul candidat du renouvellement pour un nouveau parti socialiste
Le 22 novembre au matin, les Français sauront si le PS a changé ou non. Soit, ils reverront les visages de la génération des années 1980-1990, continuant à monopoliser le PS et à l’enfoncer dans un huis clos que les Français ne supportent plus ; soit nous leur donnerons à voir que le PS a changé.
Tous les responsables de notre parti s’accordent à parler du renouvellement, comme de la diversité. Mais autre chose est de passer aux actes ! Faudrait-il comme pour la parité les y contraindre pour y arriver ? ! Le signe du renouvellement, ce n’est pas d’en parler, c’est de le faire.
Seul Benoît Hamon incarne ce changement, ce renouvellement.
Renouvellement générationnel, ce n’est pas neutre quand les têtes de tous les autres partis à notre droite comme à l’extrême gauche deviennent toutes plus jeunes que celles des responsables socialistes sur les plateaux télévisés !
Renouvellement de la ligne politique. Nous ne sommes pas dans le jeunisme. Renouveler c’est aussi être en phase avec son temps, avec les attentes sociales de son temps. C’est défendre un changement de la ligne politique de notre parti et le faire avec constance. Benoît Hamon n’a pas attendu la crise financière pour affirmer le rôle de la puissance publique comme une réponse moderne aux enjeux actuels.
Si nous voulons en finir avec 2002 et le souvenir du 21 avril, en finir avec 2007 et la confusion généralisée du discours du PS, il faut un vrai sursaut. Voter Benoît Hamon permet de se tourner enfin vers l’avenir du PS plutôt que de ressasser son passé.